L’assurance décennale du couvreur, une protection maximale !
Là-haut, défiant le vertige et l’altitude, voici le plus téméraire des ouvriers du bâtiment, le couvreur.
Pour ce métier périlleux, la sécurité s’impose comme une règle d’or, permanente et immuable, à la fois pour lui-même, pour ses compagnons de cordée et pour le client qu’il est en train de servir.
N.B. Vous vous demandez comment fonctionne la garantie décennale pour les pros et entrepreneurs ? Retrouvez plus d'information sur cette page.
Le couvreur est en effet tenu de garantir la qualité de son travail en souscrivant une assurance décennale au bénéfice des maîtres d’ouvrage (les clients) pour lesquels il taquine les sommets. On en parle ci-dessous.
NOTE: oui la garantie décennale est obligatoire, retrouvez tous les éléments sur ce lien.
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Dans ce métier délicat, l’assurance est un maître-mot !
Le toit est considéré, à juste titre, comme l’un des éléments-clés d’une construction. Si sa conception fait l’objet d’une erreur ou manifeste un signe de faiblesse, les conséquences peuvent s’enchaîner d’une façon redoutable et nuire au bâtiment dans son ensemble.
Le travail du couvreur est donc essentiel pour garantir l’étanchéité et protéger durablement une maison contre les impacts sournois de la météo. Pour tuer dans l’œuf un litige éventuel, le couvreur doit donc souscrire une garantie décennale dédiée à son métier.
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Comme l’adjectif le précise, cette garantie permettra de rassurer totalement son client pendant 10 ans si un pépin quelconque venait à perturber la solidité de la construction - ou son bon usage - suite à un problème de couverture.
L’assurance décennale du couvreur interviendra pour réparer les dégâts matériels, pour peu qu’ils ne soient pas purement esthétiques (décoloration des tuiles par exemple) ou qu’ils ne relèvent pas des clauses d’exclusion notifiées dans le contrat (les cas de force majeure, le manque d’entretien ou l’intervention d’un tiers, essentiellement).
Combien coûte l’assurance décennale d’un couvreur ?
Si vous avez dompté le vertige au point d’embrasser la profession de « toiteur » ou de couvreur, votre métier réclame une assurance appropriée, doublée d’une attestation qui en fait foi.
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